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Camelot, une approche socio-économique des biens vacants
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Les bâtiments inoccupés se multiplient et deviennent vite problématiques pour les propriétaires comme pour le voisinage. Le phénomène des biens vacants menace en outre de se développer, qu’il s’agisse d’immeubles de bureaux, de complexes industriels ou d’habitations privées.
Les bâtiments vacants invitent au squat et aux formes les plus diverses de vandalisme : graffitis, incendie volontaire et vol. Le manque de surveillance, la mise hors service d’installations techniques, génèrent souvent des coûts inattendus et qui grimpent rapidement. Pour les propriétaires, cela signifie une diminution rapide de la valeur du bâtiment inoccupé en plus de nombreux coûts supplémentaires, comme des coûts d’assurance accrus.
Yves Stevens, directeur Camelot Belgique : “Un grand nombre d’entreprises cherchent la relocalisation, louent une superficie moins importante parce qu’elles optimalisent leur implantation et/ou autorisent le travail à domicile. D’autre part, de nouveaux projets de bureaux apparaissent toujours avec des atouts spécifiques. Généralement, les bâtiments sont inoccupés parce qu’ils attendent un nouveau locataire, reçoivent une nouvelle affectation, sont proposés à la vente ou sont destinés à être démolis au profit d’un nouveau projet. Dans tous les cas, une inoccupation temporaire survient, ce qui n’est jamais bon pour le bâtiment ni pour l’environnement et encore moins pour le propriétaire.”
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04/01/2013
Sécurité & sureté - Facility Management - Immobilier
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