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Zéro papier, zéro câble, mobilité maximum : révolution en douceur chez DKV
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Réduire les surfaces et augmenter le bien-être des occupants, c’est possible. Combiner relocalisation de l’entreprise et modification fondamentale de ses pratiques, c’est audacieux. Faire en plus évoluer l’esprit d’entreprise et le cœur de métier vers le service et le contact client, c’est ne pas craindre de cumuler les défis… L’assureur DKV y est pourtant parvenu, vite et sans crise.
En 2015, les deux sociétés-sœurs DKV (la référence en matière d’assurances maladie privées) et ERGO (spécialiste de l’épargne-pension, des assurances-vie et des investissements) occupaient 12.160 m2 de bureaux Place Madou à Bruxelles. L’échéance du bail approchant, la question classique « stay or leave » se posait. « C’était un blockhaus des années 70, petites fenêtres, plafonds bas, murs jaunes, lino… », se souvient Emmanuel de Talhouët, à l’époque CEO nouvellement nommé. « Je suis arrivé dans une entreprise fantastique mais qui n’avait pas pris toute la mesure de la révolution digitale et de l’inflation des soins de santé. Ses bons résultats, sa notoriété gelaient quelque peu sa capacité d’évolution interne. Sa façon de travailler devenait « old fashioned », avec beaucoup de processus papiers. Il fallait relever plusieurs défis dans les modes de fonctionnement : remettre le client au centre, travailler davantage en équipes, moderniser les pratiques… Le bâtiment de la place Madou ne répondait plus à deux besoins fondamentaux de nos collaborateurs : la mobilité fonctionnelle, avec des équipes qui se recomposent, et la diminution des procédures écrites au profit du contact téléphonique, la croissance de l’activité, le lancement de nouveaux produits et le marketing qui l’accompagne, avec un besoin d’espaces collaboratifs plus grands. »
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18/04/2019
Facility Management - Energie et Environnement
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